Ca baise comme des salaud chez les pauvres, parce que c'est gratuit...Il pue comme je pue aussi au final ça s'annule, on sent bon. Je regarde les yaourts, le paquet de biscuits au chocolat et le chewing-gum dans le sac en plastique. Lui, il gémit comme un porc. Il a vraiment l'air idiot. Heureusement, il est derrière, je ne le vois pas trop.
Jbara décide de se confier à Dieu, de tout lui dire même ses péchés, car à qui d'autres peut-elle s'adresser. Elle ne lui en veut pas à Dieu, elle sait que ce sont les hommes qui font le mal, pas lui. Chassée par son père, elle fera ce qu'elle a à faire pour s'en sortir. Elle utilisera sa seule richesse, son corps et apprendra à en tirer le meilleur parti. Bien sûr, elle sait que c'est péché (haram), mais elle n'a pas le choix.
J'ai reçu ce roman comme un cri. Un cri qui vous transperce et ne vous laisse pas intact. On est loin de l'humour de La Mecque-Phuket. Mais on sait que Saphia Azzedine est un écrivain à part entière, capable d'un roman à l'autre de se renouveler en gardant sa plume toujours aussi incisive. MBS.
Eh bien un constat s'impose :
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